♠Nom : Dussirey
♠Prénom : Jean François Marie
♠Âge : 56
♠Race: Asvard
♠Emploi : Conseiller

♠ Description Physique: ♠

Globalement, Dussirey est plutôt quelqu'un de grand et fin. Il possèdede longues jambes maigres et sans énergie caché par sa robe, de long bras qui n'ont jamais connue la travail manuel, mais plutôt seulement la tournant des pages de livres, en faite, tout chez lui est long et fin. Ses mains fines et pourtant grande, ses long pied et son ventre maigre, Dussirey n'est pas des hommes les plus beau des environs. Ma fois, ce n'est pas non le plus moche il faut bien l'avouer, mais tout de même, ce n'est pas non plus l'un des plus beau. Dussirey possède des yeux noir, ou marron très accentué dans le foncé, une moustache fine, un long et fin (encore) menton, des joue en relief sur son visage, un petit bouc, et quelque cheveux de côté, la couleur de ses cheveux variant entre le blanc et le gris en raison de son veille age. Possédant des sourcils presque invisible en raison de leur extreme finesse, Dussirey peut malgré tout ses trait peu positif indiquant une mauvais vieillissement être content que les rides ne l'ont pas énormément pris son visage. Ainsi donc, le veil homme n'est pas des plus sportif, pas des plus plaisant, à croire que celui-ci a préféré vendre son physique de beau jeune homme, car oui, il l'était, contre une grande intelligence et un sens de la mémorisation certain.

Au niveau des habits, l'homme s'habille de manière assez traditionnel pour un homme d'état. Pour commencer, il n'abandonne jamais son chapeau de conseiller et stratège, rouge, en petite forme, il lui arrive de le surplombé avec son chapeau de cérémonie quand besoin est, mais sinon, son crane est recouvert de ce petit chapeau faite de laine rouge assez chère en raison de sa méthode de fabrication pour lui donner un petit effet brillant. Il en est de même pour sa grande robe gouvernemental, de la même couleur que son chapeau et dont le prix est toujours exobitant, Dussirey la porte à la manière d'une robe normal ou lorsqu'il doit être en dehors des chateau et des intérieur, en foulard ou il peut révéler une armure noir et de grand botte de cuir marron claire. Les manches du monsieur quant à elle, sont défait de soie blanche fine et parfaitement bien cousu. Ainsi donc, l'homme s'habille de manière aisé, très riche, pour ainsi assumer pleinement ses charges d'homme du gouvernement et de commandement.

♠ Description Mentale: ♠

Il y a certains hommes née pour être dirigé, et d'autre pour les diriger, ces hommes, que l'on nomme Asvard, sont de véritable monstres ne voulant qu'une chose, dominer. Mais, même parmi eux, il y a une division d'Asvard. Comme avec les humains, il y a les Asvard dominé, et les Asvard dominant. Dussirey est parmi ces hommes qui ne supporta jamais dès son enfance d'être tiré par des ficelles. Lui donner des ordres il n'accepta jamais, ce fut d'en donner qu'il aimait. Diriger, voila ces ambitions, Dussirey n'est pas un simple paysan rêvant de vivre une vie paisible et sans histoire, non, l'ambition de Dussirey va de conquérir toujours plus et étendre son pouvoir. C'est un hommes surs, dont l'ambition l'a amené à beaucoup voyagé, a beaucoup apprendre et a beaucoup connaitre, c'est donc quelqu'un de très cultivé malgré tout de même ces origines modeste. Avec beaucoup d'effort, Dussirey s'est prouvé à lui même qu'un simple paysan pouvait se hisser haut si il savait prendre en main son destine et les chance que celui-ci lui donnait. Il ne restait alors qu'une seul question pour cet homme qui est déjà aller si loin, jusqu'où son ambition le mènera t-il ? Vers une gloire éternel ? Ou vers une chute mortel ? Ca, seul son avenir le lui dira.

Comme dit précédemment, Dussirey est quelqu'un de très instruit. Ces nombreux voyage au cours de sa vie en sont la cause, ce qui fait donc que cet homme, au risque de me répéter, possède énormément de connaissance en de nombreux plan et de ombreux point de vue, que ce soit politique, scientifique, ou encore même littéraire. Ajouté à cela, Dussirey a une véritable passion pour la psychologie, domaine dans lequel il excelle en tant que manipulateur fin. Jean François possède une grande estime de lui même, cela le pousse à l'orgueil. Il ne se prend pas pour de la crotte en barre non, et ne le cache pas à ses congénère qu'il jugent inférieur. Cependant, lorsque la situation l'exige, il lui arrive de faire profil bas si la personne en face de lui en vaut la peine et possède ce que désirerait Dussirey. Un exemple premier, l'Asvard n'hésitera pas à jouer les lèche cul hypocrite devant les reine Esperita ou encore même Hadesia. Ayant du mal à ressentir de véritable sentiment, Dussirey possède un certain côté psychopathe qui lui donne une vision du monde assez particulière, mettant donc la compassion de coté pour ne privilégier que la pratique. Ce qui le pousse parfois à des actes assez cruel quand la situation le demande, sans le moindre remords ou la moindre hésitation.

♠ Votre Histoire: ♠

D'aussi loin que je me souvienne, Dussirey était un homme plutôt réserve étant jeune. Issue d'une petite noblesse de campagne, fils d'une famille de 4 enfants, son père, Arthur Duroy, avait épousé une veuve qui avait le double de son age, Héloise Dussirey, en raison de sa petite fortune. Petite fortune au sens propre, car comparé à certain, la famille Dussirey n'est pas des plus aisé. A ne pas s'y méprendre, cela ne les empêchait pas de vivre, bien au contraire, la famille mangeait à leur faim, ils avaient quelque serviteurs, mais ne possédait pas d'objet de luxe tel qu'on avait à l'époque. Éduqué en bonne uniforme à la manière traditionnel aristocratique malgré donc, sa classe social mise en doute, Jean François Marie vécu une enfance sans joie au profit de ses grands frères privilégiez dotez d'un meilleurs physique que lui en comparaison, dont ses parents esperait en tirer profit pour pouvoir épouser plus tard une bonne fortune. Du moins, au début, car lorsque à sa rentré dans les moyennes écoles (l'équivalent d'un collège), ses professeur remarquèrent vite sa capacité à facilement mémorisé des leçons longue, et dirent donc à ses parents qu'ils était promis à un grand avenir si le destin lui en donnait les possibilité et si il savait les saisir. Ainsi, lorsque le lycée fut terminer, Arthur, qui était à la fin de la scolarité de Jean François, veuve d'Héloise morte de vieillesse, l'envoya lui seul en ville, la capital ou la reine Esperita reigner en maitre, pour intégrer les grandes écoles.

Ayant perdu sa famille et ses frères de vue, Jean François passa donc à partir de ses 18 ans, 5 années de sa vie à étudier l'histoire, les sciences et les lettres. Devenue ce qu'on appelle un érudit, son intelligence remarquable se fit remarquer par le compte de Cerey, riche noble de la haute aristocratie, qui le pris à son service à l'age de 23 ans en tant que professeur de ses deux filles, Maria et Elizabeth. Ses petites filles de 7 ans à l'époque, Jean François les fit rapidement obéir malgré leur indiscipline et les apprécia vite, les élevant comme ses filles. Cerey, remarquant sa capacité de faire obéir, se dit qu'il avait un plus grand pouvoir de domination que lui en tant qu'Asvard. Il en devint jaloux, non seulement pour son pouvoir de soumission inférieur au sien, mais aussi parce qu'il menaçait de le remplacer en tant que père. 2 ans après avoir été embauché, Cerey éloigna Jean François de ces filles pour lui proposer de servir son ami le compte de Dufouleur. Dussirey accepta, mais ne savait pas encore que ce compte était un colonel en repos. Les deux s'entendirent rapidement assez bien, les relations entres les deux hommes, le colonel et l'humble serviteur de celui-ci, qui se contentait désormais, au lieu d'enseigner, de simplement préparer la cuisine à son maitre. En raison de ses compétence en chimie, la cuisine était un domaine dans lequel excellait le mieux Jean François.

Les années passèrent, c'est alors que lors des trente années de Jean François, on envoya le colonel, lui et sa petite armé d'environ 200 hommes, de mater une rébellion de 500 hommes qui s'était replié vers le désert après avoir été vaincu une première fois. Les deux y allèrent et installèrent un camp militaire en face de celui des rebelles. En raison de l'abandon et du manque de vivre de l'armé, les rebelles, en supériorité numérique, ne tardèrent pas à pendre l'avantage stratégique sur l'armé du colonel, qui perdait bien trop vite ces hommes. Le stress le tua, mourant d'une maladie du désert dont le nom à échappa à Jean François, celui-ci, une fois que son maitre mourut, décida de fuir le champ de bataille avant de lui même être charcuté. Considéré comme un déserteur désormais pour sa patrie, il rejoignit Otakko ou la, il se fit passer pour un humain et fonda une nouvelle vie à l'age de 32 ans en tant que bibliothécaire. Il y apprit beaucoup, énormément, autant sur les stratégie militaire que sur les lieux et la psychologie des Asvard et des humain qui quand on les compare, ne sont pas si différent, remarqua t-il. 8 ans plus tard, après avoir apprit énormément sur la littérature, Jean François, qui avait maintenant la quarantaine, décida de rentrer à sa patrie avant que l'on s'aperçoivent de son état d'Asvard.

C'est alors qu'il s'arrêta au pic gelé, ou il croisa l'empereur manchot. Cependant, les informations sur ce voyage reste imprécisses. Rentré dans les haut quartier de Baal sans un sous, il retrouva ses frère qui avait gagné de l'argent par des mariages. Décidant d'en profiter, il redevint professeur littérature et de sciences au fils de son second frères. Durant douzes ans d'études, Jean François, qui avait à présent 52 ans, décida à la fin de ses enseignement, de finalement mettre son savoir qu'il lui permettait de vivre au service de la reine. Il parti donc au chateau pour lui proposer ses services et pour une fois pour toute, prendre son destin en main...

A continuer

♠ Votre Arme de départ, sa particularité ♠